Macron sauvé par les traîtres : une nouvelle farce à l’Assemblée Nationale

Aujourd’hui, le 16 octobre 2025, l’Assemblée nationale française a une fois de plus révélé le visage hideux de la Ve République :

un théâtre d’ombres où Emmanuel Macron, ce monarque autoproclamé, échappe à la guillotine politique grâce à une coalition de lâches et de collabos terrorisés à l’idée de perdre leurs privilèges dorés.

Les deux motions de censure déposées contre le gouvernement de Sébastien Lecornu – une par La France Insoumise (LFI) et ses alliés écologistes et communistes, l’autre par le Rassemblement National (RN) et l’Union des Droites Républicaines (UDR) – ont été rejetées dans un spectacle de bassesse et d’hypocrisie. La motion de LFI n’a recueilli que 271 voix, manquant de 18 pour atteindre la majorité absolue de 289, tandis que celle du RN s’est effondrée à 144 voix. Une fois de plus, Macron est sauvé par des collabos qui ont préféré leur siège à la volonté du peuple.

Les collabos en première ligne : peur et privilèges avant tout

Qui sont ces sauveurs improbables ? Principalement les députés du Parti Socialiste (PS), ces reliques d’une gauche moribonde, qui ont refusé de voter la motion de LFI, offrant ainsi un sursis inespéré au gouvernement. Sans leur abstention ou leur opposition, la censure aurait pu passer. Ajoutez à cela deux ou trois députés des Républicains (LR) qui ont timidement soutenu les motions, mais la masse des LR a préféré se terrer dans le silence, évitant de risquer une dissolution qui pourrait balayer leurs mandats confortables. Ces figures, parmi les plus haïes par les Français

pensez aux sondages qui placent le PS et les LR au fond du trou de la popularité, avec des taux d’approbation frôlant les abysses

ont voté contre la censure, ou s’en sont abstenus, pour préserver leur petite boutique. Macron, maître du chantage constitutionnel, les a menacés d’une dissolution de l’Assemblée, transformant la démocratie en un vulgaire marchandage : « Votez pour moi, ou perdez tout. » C’est la énième preuve que ces élites accaparent le pouvoir au détriment du peuple, écrasant toute velléité de changement sous le poids de leur couardise.

Une bombe à retardement : la colère populaire en ébullition

Cette survie précaire n’est qu’un répit illusoire. La France est une bombe à retardement, prête à exploser.

Avec une Assemblée fragmentée et un gouvernement minoritaire qui ne tient que par des alliances contre nature, les tensions sociales – inflation galopante, réformes des retraites suspendues comme une épée de Damoclès, et un mépris souverain pour les aspirations populaires – ne font que s’amplifier. Les Français, exaspérés par cette oligarchie déconnectée, voient leurs revendications piétinées. Combien de temps avant que les rues ne s’embrasent, comme à Madagascar récemment ? Cette situation ne tardera pas à sauter : les prochaines négociations budgétaires pour 2026 risquent de raviver les flammes, et une nouvelle motion pourrait bien être la mèche fatale.

La bassesse de LFI : hypocrisie et sectarisme au nom du peuple ?

Pire encore, la bassesse de LFI éclate au grand jour. Alors que le RN a voté en faveur de la motion de censure déposée par LFI – un geste tactique pour renverser le gouvernement, avec les 123 élus lepénistes et leurs alliés gonflant les rangs des « pour » – les Insoumis ont refusé de rendre la pareille. La motion du RN n’a recueilli que 144 voix, essentiellement de son camp et de trois élus LR égarés, sans le moindre soutien de LFI.

Une fois de plus, ce sont les commissaires politiques qui font la loi, imposant leur dogme sectaire peu importe ce que pensent les Français.

LFI, auto-proclamée championne du peuple, préfère laisser Macron en place plutôt que de s’allier, même temporairement, à l’ « extrême droite ». Résultat : le système perdure, et les élites rigolent.

Et n’oublions pas l’hypocrisie historique de LFI. Lors des dernières élections présidentielles de 2022, Jean-Luc Mélenchon et ses acolytes ont appelé à « faire barrage » à Marine Le Pen, encourageant implicitement un vote pour Macron – ces fameux « castors » conditionnés à voter utile pour bloquer le RN, perpétuant ainsi le règne macronien. Comme nous le le dénoncions déjà dans un article incisif,

ces « castors » ont été les artisans d’une République en décomposition, où la gauche radicale joue les fausses oppositions sans jamais oser le vrai combat, préférant hurler sans mordre pour protéger ses privilèges.

En conclusion, ce vote n’est qu’une victoire à la Pyrrhus pour Macron. Sauvé par des traîtres haïs du peuple, il ne fait que reporter l’inévitable explosion. Les Français méritent mieux qu’un cirque de collabos et de faux-culs. Il est temps que les élites tremblent, car le réveil populaire approche.