La farce diplomatique autour de l’Ukraine atteint des sommets grotesques. Volodymyr Zelensky, qui a perdu la guerre sur le terrain – un fait que tous les états-majors, y compris à Washington, admettent en privé – atterrit à Paris pour quémander un soutien européen qui n’est plus qu’une bouffonnerie coûteuse. Pendant ce temps, à Moscou, Vladimir Poutine reçoit les émissaires de Donald Trump, Steve Witkoff et Jared Kushner, pour des négociations qui se résument à un bras de fer entre superpuissances.
L’Europe ? Un spectateur forcé de payer l’addition, avec Emmanuel Macron en chef d’orchestre d’un opéra belliqueux qui ne trompe plus personne.
Et pour couronner le tout, Kiev lance une opération de bric-à-brac financier pour éviter le gouffre du défaut de paiement. Tout ça sent la fin d’un chapitre, mais pas la paix : juste un capitulation maquillée.
Zelensky à Paris : Gesticulations d’un perdant en quête de bouée
Le 1er décembre, Zelensky pose ses valises à l’Élysée, accueilli par Macron comme un vieux complice dans une comédie qui a trop duré. Les discussions ? Du vent sur du vent : souveraineté ukrainienne, garanties de sécurité, et la sempiternelle « question des territoires » qualifiée de « plus compliquée« . Zelensky martèle que Kiev ne cèdera rien, mais tout le monde sait que c’est du bluff. Les états-majors le disent : l’Ukraine a perdu. La Russie contrôle plus de 19 % du pays, avance à pas de géant en 2025, et Zelensky n’a plus que des miettes à négocier.
Ses gesticulations à Paris ne servent à rien : c’est de la poudre aux yeux pour masquer l’inévitable.
Macron, lui, joue les chefs de guerre en carton. Il promet un « soutien total » , évoque une « coalition des volontaires » pour des forces de réassurance – terrestres, maritimes, aériennes – en cas de cessez-le-feu. Mais derrière les beaux discours, c’est du bellicisme pur : il veut torpiller les avancées réelles entre Donald Trump et Vladimir Poutine, en insistant sur des « garanties inconditionnelles » qui heurtent les concessions territoriales envisagées par Washington. Vladimir Poutine l’a dit cash : l’Europe « empêche l’administration américaine d’atteindre la paix en Ukraine » et est « du côté de la guerre » . Macron jette de l’huile sur le feu, multiplie les sommets ostentatoires au moment où les vrais deals se font sans lui. Résultat ? L’UE, sortie des pourparlers par sa faute intransigeante, finance à fonds perdus une cause perdue – et ces fonds, elle ne les a même pas, pompés sur le dos des contribuables européens qui en ont ras-le-bol de ces gesticulations.
Les Européens ? Ils trinquent. Des voix sur les réseaux sociaux fusent : « Macron prépare le plus gros contrat d’armes depuis 20 ans avec Zelensky, au détriment des intérêts français. » Un autre : « On paye les incohérences de Macron qui file notre pognon à Zelensky et sa clique de corrompus. » Macron se la joue grand stratège, mais il n’est rien : même plus le président de la France qu’il méprise, où son mandat n’a jamais été qu’une parenthèse illusoire. Qu’il se taise maintenant, et laisse les adultes négocier.
À Moscou, le vrai jeu : Trump vs Poutine, sans figurants
Pendant que Paris joue la comédie, Moscou dicte les règles. Witkoff et Kushner passent plus de cinq heures au Kremlin avec Vladimir Poutine, discutant d’un plan de paix révisé à 19 points, fruit de tractations en Floride avec les Ukrainiens. Pas de compromis concret sur le Donbass ou les territoires, mais les discussions sont « constructives » – selon le Kremlin « on avance, mais à nos conditions » . Face aux discours bellicistes des européens, Vladimir Poutine avertit : la Russie est « prête dès maintenant » à une confrontation si l’Europe « veut la guerre » . Il accuse les Européens de saboter le processus avec des « demandes inacceptables » et totalement contraires aux réalités du terrain.
Les négociations se jouent entre les États-Unis et la Russie : tout le reste est du théâtre.
Donald Trump pousse pour un cessez-le-feu rapide, potentiellement incluant des casques bleus européens – acceptables pour Poutine si ça scelle les gains russes (reconnaissance de la Crimée, du Donbass, et des lignes actuelles à Kherson/Zaporijjia). Zelensky, coincé, appelle à une « paix juste » , mais c’est du pipeau : l’Ukraine a déjà cédé sur l’essentiel dans les projets de texte américains. Sur les réseaux sociaux, les analystes notent : « Poutine n’a pas claqué la porte – il l’a entrouverte » , signe que Moscou sent la victoire. Et Donald Trump ? Il sait que Vladimir Poutine ne pliera pas sans un accord bilatéral, loin des rodomontades européennes.
Kiev : Un échange de dettes pour masquer le naufrage économique
Au milieu de ce cirque diplomatique, l’Ukraine joue la carte du désespoir budgétaire. Le 1er décembre, Kiev a lancé une offre d’échange : troquer 3,2 milliards de dollars d’obligations indexées sur le PIB contre des obligations internationales classiques. Objectif : sortir enfin du défaut de paiement souverain déclaré en 2022, une rustine technique pour éviter la faillite pure et simple.
Ces titres, émis en 2015 lors de la précédente restructuration, prévoient des versements supplémentaires dès que la croissance dépasse 3 % par an ou que le PIB nominal franchit 125,4 milliards de dollars. Selon le FMI, ils pourraient coûter jusqu’à 6 milliards de dollars à l’État ukrainien dans les années à venir. L’offre actuelle ? 1.340 dollars de nouvelles obligations (échéances 2030-2032) pour 1.000 dollars de titres anciens, assortis d’une prime et d’un complément en espèces pouvant atteindre 180 millions de dollars. Il faut obtenir l’accord d’au moins 75 % des créanciers pour les échéances 2041, et tout doit être bouclé avant la fin décembre pour boucher tant bien que mal le budget 2025.
Ces obligations indexées sur la croissance ont grimpé à 99 cents pour un dollar, leur niveau le plus élevé depuis quatre ans – signe d’un optimisme de marché un peu forcé. Mais quand on sait que le déficit de financement du pays est estimé à 136,5 milliards de dollars pour la période 2026-2029, on comprend que c’est un simple pansement sur une hémorragie.
L’Europe paie la note, à fonds perdus, pendant que Zelensky continue de réclamer toujours plus d’armes et d’argent frais. Le spectacle est aussi coûteux qu’absurde.
L’UE en faillite morale et financière : Assez de ce cirque !
Cette semaine haute en bluff expose la réalité crue : Zelensky est fini, Emmanuel Macron un imposteur belliqueux, et l’Europe une vache à lait épuisée.
Les négociations réelles ? Entre Trump et Poutine, qui pourraient sceller un accord incluant des concessions territoriales et un retrait partiel du soutien militaire et financier américain à l’Ukraine. L’UE, emmenée par un Macron qui rêve de grandeur mais n’est qu’un nain diplomatique, risque de tout faire capoter par orgueil. Sur les réseaux sociaux, le ras-le-bol est palpable : « Macron-Zelensky, un dernier tango à Paris…».
Vers une paix ? Peut-être, si l’Europe se tait enfin. Sinon, c’est l’enlisement, au prix du sang ukrainien et des impôts européens. Vladimir Poutine attend, Donald Trump négocie, Volodymyr Zelensky gesticule. Le rideau tombe sur ce théâtre et bon débarras !


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